Une expérience de l’international différente par temps de pandémie
Cette année encore, les étudiants internationaux représentent près d'un cinquième des effectifs à l'ECPM. Le taux de mobilité internationale n'a que peu baissé grâce à nos partenariats européens.
Depuis plusieurs années, le nombre d'étudiants internationaux accueillis à l'ECPM, dans le CPI comme du cycle ingénieur, ne cesse d'augmenter. Il est en stagnation cette année, par rapport à l'an dernier mais n'a pas baissé. Près de 18% des effectifs sont des étudiants internationaux, ce qui représente 16 nationalités différentes.
La mobilité internationale dans le cadre des doubles diplômes et des conventions d'échanges académiques a, quant à elle, marqué le pas avec une très légère baisse de 2% pour la mobilité entrante et de 3% pour la mobilité sortante. Si certaines des mobilités hors Europe ont souffert des consignes sanitaires liées à la pandémie, ce ne fut pas le cas de la mobilité au Canada et inter-Europe qui ont pu être assurées, certes différemment, avec nos partenaires.
Le quotidien des étudiants qui ont opté pour l’international en période de pandémie est bien loin des clichés de l’auberge espagnole. Ceux qui ont opté pour l’Université de Sherbrooke ont suivi les cours depuis la France, jusqu’à la fin du mois de novembre, avant de décoller pour le Canada. D’autres, en Allemagne, Espagne ou encore aux Pays-Bas, ont vécu ou vivent encore de plus ou moins longues périodes de confinement ou de couvre-feu.
Mais ces expériences ne sont, d’après eux, pas vaines : ils expérimentent d’autres méthodes de travail, améliorent leur niveau de langues et profitent, pour une grande partie d’entre eux, de leur nouvel environnement.