Les nuages de poussières sahariennes vecteurs de pollution

Des chercheurs de l'Institut de chimie et procédés pour l'énergie, l'environnement et la santé (Icpees) et de l'Institut de physique et de chimie des matériaux de Strasbourg (IPCMS) ont montré pour la première fois que des molécules cancérogènes issues des combustions se retrouvaient sur des particules de silice d'origine naturelle présentes dans les nuages de poussières sahariennes.


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Contact : Stéphane Le Calvé

Crédit photo : ICPEES

Légende photo : Installation d'un préleveur pour la collecte des particules en fonction de leurs tailles et d'un analyseur de particules sur le toit de l'ECPM.